lundi 23 février 2009

Partage d'un colis de boeuf

Madame Guichard cherche à partager un colis de boeuf.
Qui est intéressé?

Vous pouvez me contacter, je transmettrai.

Edit: C'est bon, le colis va être partagé.

vendredi 20 février 2009

Reservez votre dimanche soir, le premier mars

Venez fêter l'anniversaire du Panier Terrasson le dimanche 1er mars à partir de 18h en salle 2 de la mairie.

Chacun apporte quelque chose à boire ou à manger que nous partagerons lors de cette soirée.

Que vaut le bio des grandes surfaces?

Info en provenance d'Alliance.

"Que vaut le bio des grandes surfaces ?


Auteur : Jean-Bernard Litzler (01/12/2008)

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.

Les hypers sont-ils le fer de lance de la démocratisation du bio ? Ou au
contraire le signe d'une dégradation de la filière ? Réponse en cinq points.

• Les produits sont-ils vraiment bio ?

Oui. Avec la généralisation des produits bio jusque dans les enseignes
de hard discount, le doute s'instaure. S'agirait-il d'un bio au rabais,
voire d'un faux bio ? Aucune crainte. Pour être certifié bio, tout
produit doit être soumis au moins une fois par an à un contrôle (sur
rendez-vous) de l'un des six organismes certificateurs français
(EcoCert, Qualité France…). À cela peuvent s'ajouter des contrôles
inopinés et la vigilance de la Direction générale de la concurrence, de
la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). L'organisme,
qui s'attache notamment à assurer la loyauté des appellations, a
rarement pris le bio en défaut. Depuis vingt-trois ans, la marque AB,
créée et gérée par le ministère de l'Agriculture, a prouvé son sérieux.
«Les accidents sont très rares, ce qui contribue à la solidité de la
marque», souligne Élisabeth Mercier, directrice de l'Agence Bio, chargée
de la promotion des produits bio.

Mais malgré leur sérieux, les la bels AB ou l'européen Agriculture
biologique, quasiment seuls présents en grandes surfaces, ne satisfont
pas tous les consommateurs. Les amateurs de bio les plus convaincus
estiment que ces appellations ne sont plus assez restrictives
aujourd'hui. Les produits portant cette mention peuvent par exemple
contenir jusqu'à 4,99 % d'ingrédients non biologiques et la présence
accidentelle d'OGM est autorisée à hauteur de 0,9 %. D'où le choix des
puristes de privilégier des labels privés (Demeter, Nature & Progrès…)
intégrant des exigences plus sé-vères.

• Affichent-ils les meilleurs prix ?

Souvent. Si 37 % des Français estiment normal de payer plus cher des
produits bio (sondage CSA/Agence bio), le prix reste un frein majeur au
développement de l'agriculture biologique. Or, la force de frappe des
grandes surfaces, c'est justement de proposer des marques de
distributeurs bio à des prix très proches de ceux des produits
conventionnels de qualité. Ce n'est donc pas un hasard si près des trois
quarts des acheteurs de produits bio se fournissent en super et
hypermarchés.

Malgré cette prédominance, les autres modes de distribution tirent
plutôt bien leur épingle du jeu (voir tableau), notamment pour les
produits frais. «Nous avons besoin de la grande distribution pour
écouler une partie de nos produits et tentons de développer avec elle
des partenariats, explique Henri Thépaut, président de la Fédération
nationale de l'agriculture biologique. Mais fondamentalement,
l'agriculture biologique est attachée aux circuits les plus courts :
vente locale ou directe.» Selon lui, ces réseaux courts permettent de
faire de bonnes affaires, mais «il s'agit de trouver un prix juste, pour
le consommateur et le producteur. La seule recherche d'un premier prix
est incompatible avec la démarche bio».

• Proposent-ils un large choix ?

De plus en plus. Présents depuis plus de dix ans sur ce créneau,
Monoprix et Carrefour ont développé les gammes les plus étoffées et
lorgnent désormais du côté des cosmétiques, des textiles et des produits
d'entretien. Le créneau est des plus porteurs puisque Monoprix a racheté
cet été la chaîne de produits bio Naturalia et ses 34 magasins, tandis
que Carrefour propose en France près de 250 produits bio sous sa marque
Agir et 1 400 références de marques nationales. Intermarché et Leclerc
n'ont pas tardé à suivre le mouvement. Quant aux derniers arrivés,
Auchan (en 2006) et U (fin 2007), ils tentent de rattraper leur retard
en proposant chacun une centaine de produits maison. Mais attention,
prévient le consultant Philippe Breton, spécialiste des marques de
distributeur : «Trop de choix tue le choix. À force de multiplier leur
nombre, les produits finissent par moins se vendre et l'attractivité des
prix pourrait s'en ressentir.»

De son côté, la distribution spécialisée reste sereine. «Le choix que
nous offrons croît plus vite que celui des grandes surfaces, souligne
Christian Lafaye. Tant que les consommateurs n'achètent que 2 ou 3
produits bio, ils se contentent des grandes surfaces. Au-delà, ils
préfèrent se tourner vers les spécialistes.» Reste un problème que ni
les grandes surfaces ni les magasins spécialisés n'ont réussi à résoudre
: viandes et poissons demeurent trop peu présents et trop coûteux.

• Quel goût ont-ils ?

Très variable. D'une manière générale, évaluer la qualité gustative des
produits est quasi impossible. Mais les chercheurs se penchent sur la
question. «Concernant les produits frais, notamment les pommes, les
pêches et les tomates, quelques résultats sont favorables au bio»,
relève Stéphane Bellon, coordinateur de la filière bio au sein de
l'INRA. Une irrigation et une utilisation d'azote plus modérée
permettent d'avoir des fruits plus fermes, plus sucrés et plus riches en
polyphénols. Des avantages que l'on ne perçoit pas forcément en grande
surface, pointe néanmoins le chercheur, si les récoltes ne sont pas
cueillies à maturité.

Quant aux produits transformés, ils ne peuvent pas être classés par
goût. Tout y est question «de conviction et d'espérance», selon
l'expression de la sociologue Claire Lamine dans son ouvrage Les
Intermittents du bio. Cela n'empêche pas les consommateurs d'affûter
leurs papilles et d'être attentifs à la composition des produits, très
variable d'une enseigne à l'autre, même en bio.

• La filière est-elle sans défauts ?

Non. Victime de son succès, le bio en grande surface menace de se
banaliser et de renouer avec les travers de la production classique.
Principal problème : la trop faible capacité de production actuelle et
la recherche de petits prix poussent à importer 50 % des produits. «Plus
de la moitié des fruits et légumes et 40 % de l'épicerie sèche
proviennent de nos voisins européens, du Maroc, de Turquie, voire de
beaucoup plus loin», admet Élisabeth Mercier, directrice de l'Agence
bio. Avec, à la clé, transport et dégagement de CO2 très peu
écologiques. La situation pourrait s'améliorer grâce au Grenelle de
l'environnement, qui fixe à 20 % (!) l'étendue de notre surface agricole
consacrée au bio, contre 2 % aujourd'hui.

Mais tout en relevant de bonnes initiatives, les agriculteurs bio
restent globalement méfiants vis-à-vis de leurs interlocuteurs des
grands magasins. Ils leur reprochent de trop se focaliser sur les prix.
Mais aussi de développer un marketing tous azimuts qui viderait de leur
sens les produits bio. Exemples : création de produits très «pointus»
(comme les chips bio aromatisées), suremballage (pour les fruits et
légumes ou les produits pour les enfants en portions individuelles) et
promotion à grand renfort de prospectus (même recyclés)."

Le SCOT ...

Message en provenance d'Alliance:

"Chers adhérents, amapiens, sympathisants,

Le Schéma de Cohérence Territorial (SCOT)(cliquez ici) de la région grenobloise, visant à définir les grandes orientations d'aménagement du territoire sur 20 ans, est en pleine construction.
Or, il définira sur une période relativement longue l'organisation urbaine, mais aussi agricole et environnementale du territoire.
Les choix d'aménagement qui vont en découler devront alors conciliés les intérêts, souvent conflictuels, de ces trois mondes.

Plusieurs associations environnementalistes et agricoles ont ainsi signé un document commun exposant les enjeux du SCOT vis-à-vis de la préservation des espaces naturels et agricoles, que vous trouverez ci-joint.

Merci de le diffuser largement.


Très cordialement,

-- Aurélie Ménadier"

Invitation réunion de travail "AMAP Solidarité" 5 mars

Message d'Alliance:

"Chers adhérents, amapiens, et sympathisants,

Dans le cadre du groupe de travail thématique "AMAP", l'Alliance Isère souhaiterait mettre en place un projet relatif à la question de "l'accès pour tous" aux produits locaux de qualité.

Plusieurs expériences ont déjà vu le jour au sein d'AMAP dans d'autres régions ou départements, et nous aimerions monter à notre tour des projets similaires ou nouveaux sur cette problématique.

A ce titre, nous organisons une 1ère réunion de discussion :

le 5 mars 2009 à 18h30
Maison de la Nature et de l'Environnement de l'Isère (MNEI)
5 place Bir-Hakeim à Grenoble

Toutes les personnes intéressées pour travailler sur cette question sont les bienvenues.

Dans l'espoir de vous retrouver à cette occasion, recevez mes sincères salutations.

-- Aurélie Ménadier
"

jeudi 19 février 2009

Invitation au CA d'Alliance le 26 février à 18h30

Message en provenance d'Alliance:

"Chers adhérents, amapiens, et sympathisants,

Vous trouverez ci-joint (cliquez ici) l'invitation et l'ordre du jour de notre prochain Conseil d'administration, qui se tiendra le 26 février prochain dans nos locaux à 18h30.

Nous comptons sur votre présence!

Très cordialement,

Aurélie Ménadier
"

vendredi 13 février 2009

Le premier anniversaire du Panier Terrasson

Comme Christine vous l'a déjà indiqué par mail, nous allons célébrer le premier anniversaire de notre AMAP lors d'une soirée conviviale où chacun apportera quelque chose à manger ou à boire.
Afin de savoir quel soir conviendra au plus grand nombre je vous propose de donner vos disponibilités grâce au sondage en ligne (cliquez ici). C'est très rapide, une minute suffit!

Pensez à apporter votre cabas

Afin d'améliorer le service lors de la distribution et de préparer l'arrivée du maraîcher nous allons modifier le système de distribution. Les commandes de chaque famille seront préparées à l'avance dès l'arrivée des producteurs.
Pour cela nous demandons à chaque famille d'apporter un CABAS et de le laisser au local.

Les sacs en papier sont aussi bienvenus, ainsi que de grands sacs en plastique propres.

Qui a oublié son jus de fruits?

Lors de la distribution du 6 février 2009, certaines bouteilles de jus de fruits n'ont pas trouvé preneur. Si vous avez oublié votre commande de jus de fruits, pensez à la réclamer avant que les bouteilles ne disparaissent...

Rappel: Conférence la grande distribution 23/02

Je vous rappelle la prochaine conférence
"la Grande Distribution: STOP !
d'autres solutions existent
",
le 23 février 2009 à 20H
à l' Amphithéâtre du lycée agricole de St-Ismier
Entrée gratuite, frais de participation libre




Voici des liens vers un interview de courte durée de Christian Jacquiau au sujet de la grande distribution:
en six épisodes...
partie 1 : http://www.youtube.com/watch?v=f6LnjSZU78I&feature=related
partie 2 : http://www.youtube.com/watch?v=t_KIeC_wEE0&feature=related
partie 3 : http://www.youtube.com/watch?v=sOY8a2Pf8XU&feature=related
partie 4 : http://www.youtube.com/watch?v=Q7inhdhKWEo&feature=related
partie 5 : http://www.youtube.com/watch?v=Ekl2m4gFRwk&feature=related
partie 6 : http://www.youtube.com/watch?v=N17UlIFW_ys&feature=related



Alliance co-organise cette conférence et demande à chacun un coup de pouce pour diffuser largement cette information et pour les personnes motivées et proches du lieu de conférence, une réunion se tiendra la 19 février prochain à Crolles(salle Cascade vers la mairie) dans l'objectif de finaliser l'organisation de l'évènement(entrées, parking, affichage, salle, ...).
Si vous avez ainsi un peu de temps à nous consacrer, vous êtes les bienvenus!

Préparez vos listes!

Parfois les personnes qui viennent chercher un panier pour un amapien absent ne savent pas exactement ce qu'ils sont sensés prendre et peuvent oublier certains produits.
Si vous déléguez, n'oubliez pas de donner une liste.
Par ailleurs pour vous aider, j'ai mis un tableau récapitulatif des distributions. Il est disponible dans la colonne de droite, dans le cadre du haut. N'hésitez pas à le consulter régulièrement.

Salon Primevère du 20 au 22 février 2009 à Lyon

La 23ème édition de ce salon militant se tiendra du 20 au 22 février 2009 à Eurexpo (Lyon Chassieu)

Pour plus d'informations je vous invite à lire le fichier de présentation ci-joint Primevre09.pdf

Par ailleurs, Alliance propose aux Amapiens des billets à tarifs réduit à 5€. Vous pouvez contacter Aurélie Ménadier à contact@alliancepec-isere.org

Si vous avez l'intention d'y aller, je vous suggère le co-voiturage et vous propose pour cela de m'envoyer un mail avec votre heure de départ et le nombre de places disponibles, je mettrai en relation les personnes susceptibles de partager leur trajet.

lundi 9 février 2009

Suspension de livraison

Je vous rappelle qu'il n'y a pas de livraison de Brebis ni le 13 ni le 20 Février (mise bas des brebis)

Il n'y a pas non plus de pain le 20 Février (congés de F. Muzet)

mardi 3 février 2009

Prochaine commande de boeuf

Un message de Frédérique, référente pour la viande:

"Après la livraison de vendredi Mr Janona, m'a dit que du boeuf serait à nouveau possible pour fin février début mars. Alors avis aux amateurs."
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